dimanche 22 février 2009

Envie d’ailleurs

C’est ce qu’on aurait pu croire… en regardant les photos de Sunny et consorts partis voir si l’herbe est plus verte au pied des falaises du sud, partis voir si elle sont plus belles et le soleil plus chaud du coté de Russan et Claret que celui de la réplique du jardin d’Eden, préservé des affres du monde moderne qu’est Rioupéroux. En prenant des nouvelles aussi de Toufic, parti en croisade à la conquête de quelques reliques de l’histoire de la grimpe entre Buoux et Seynes, délaissant pour un temps seulement et pour mieux les apprécier au retour, quelques uns de ses projets locaux. Ou encore, pour d’autres raisons douteuses, François et Iaki, vagabondant dans un pays qui sent bon la lavande, qui respire le mimosa et surtout qui regorge de vielles et riches héritières, devenues veuves éplorés et finissant leurs jours sous le soleil de la cote d’Azur….
Le noyau dur de LaCuvette allait-il succombé à pareil charme, quitte à prendre le large et se laisser prendre au jeu patelin de quelques photos glamours, couchées sur le papier glacé des magazines ? Pour éviter un trop gros dépaysement, pour limiter la consommation du gros 4x4 de Sylvain, et surtout parce que le coté paisible et tranquille d’une marche d’approche dans la neige nous aurait sûrement manqué, nous avions décidé d’une escapade quelque part au dessus de la belle combe de Savoie. Pour gouter au mythe de la cotation facile, on avait longtemps hésité avec une bonne séance d’humiliation à la Chambotte, puis ce fut finalement du coté du Col de Marocaz que l’on est parti, en quête d’une pincée d’exotisme. Sur fond panoramique de cimes enneigées, avec un Mont Blanc plus proche que celui que l’on contemple traditionnellement depuis notre vire chérie, nous profitions du calme de la forêt des Bauges qui s’éveillait, dont le sol et la végétation craquelaient au rythme du soleil venant doucement les réchauffer. Nos pas crissaient dans la neige, nous ressentions enfin cette fierté, ce sentiment de plénitude, ceux là même qui font courir notre Yves, lorsqu’il part seul faire sa trace, à l’aube, dans le froid, à la conquête d’un morceau de merveille terrestre qui lui semble réservé. Comme à l’accoutumée et comme se plaisait à le rappeler un certain Marcel dont le nom faisait rire l’adolescent mal dégrossi que j’étais, "le plaisir de l'habitude est souvent plus doux encore que celui de la nouveauté". C’est surement pour cela que ces grands murs ne se révélèrent pas tellement différents de ceux connus d’une falaise proche du rebord de LaCuvette, le Glezy. Ce fut l’occasion pour Grand Bruno, dans son élément, de nous faire une démonstration de conti sur plats, savourant chacun des mouvements du long et très poétique Mou du cul, 7a+. Perdu dans cet océan de plats gris, composant avec grâce parmi cette multitude de prises toutes semblables les une aux autres, il finit par habilement se jouer d’elles et arriver au bout de 35m de véritable ballet vertical, à clipper le lointain relais, à peine plus essoufflé que le commun des mortels en train de regarder une finale du 100m hommes vautrés dans un canapé. Malheureusement on ne nait pas tous égaux devant l’éternel, c’est ce qu’a du se dire Sylvain, se rendant à l’évidence :un physique aux cuisses de barbare ne pourra jamais faire bon ménage avec de si longues envolées, à moins d’y trouver d’astucieux points de repos… Attiré par la spiritualité du nom d’un petit 7c, plus que, comme pourrait le penser les mauvaises langues, par son style dalleux avec des règles à serrer plus que de raison et des pieds à charger comme seul un sumo chaussé de eb peut le faire, je pris aussi part au festin et fit Quel porc chéri, plus court et avec une section en très beau cailloux sculpté, avec de faux airs de la partie sommitale de Malichikdan, le 7c majeur de notre Grande DJ.
Une petite escape en pays voisin, plus pour joindre l’utile à l’agréable lors d’un week-end où il avait été convenu que l’on ne grimperait pas. Une brève incartade de l’autre coté de la frontière, plus qu’une réelle envie d’ailleurs, histoire de se dire qu’il existe des falaises aux blandices autres que celles d'une rocade encombrée, d’un centre commercial résonnant d’annonces publicitaires ou d’une décharge aux effluves étourdissantes…

lundi 16 février 2009

Caprice des dieux

C’est là ou je me rends compte de l’étendue considérable de ma culture, celle d’un publivore bercé par la réclame et quotidiennement morigéné par le rituel castrateur d’une voie parentale autoritaire dont résonne encore le : "après la pub, tu montes au lit". Je devais alors m’extraire de mes rêves, quitter le monde enchanté du "démarrez plein pot avec Benco", le "qu’est ce tu dois doux doux dit donc" du regretté Carlos, mes premier émois avec le "hein-hein" des cachous Lajaunie, l’incontournable ami Ricoré, ou le tablier du boucher de rue Gamma …autant de références cultissimes que je m’astreins à placer au moins une fois par jour dans une conversation sérieuse du boulot, laissant parfois perplexe certains collaborateurs plus jeunes…c’est sur, ce n’est plus ce que c’était…à moins que ce ne soit moi, qui sans m’en rendre compte, aie vieilli…Parmi ce florilège, mon œil averti avait déjà noté une allusion discrète à Lacuvette. Le prétexte fallacieux de vanter le moelleux d’un fromage avait suffit à convaincre un publicitaire de mettre en scène une cabine du Téléférique de Chamrousse. Ce devait donc finir par arriver un jour, comme une juste retombée de la renommée, comme le revers de la pipot-lisation…Lacuvette finirait par avoir son heure de gloire. Il y eut d’abord une tentative timide avec Nico, le PBMaster encore peu rodé, sur TéléGrenoble et puis…il y eut le 20h de TF1. Alors que je lui proposais un choix difficile, Claire Chazal décida de parler d’un site Vertacos et conviait Mickey à montrer ses beaux Hellboy eb tout neufs à la France entière. Elle préféra le très bel Hutus ou rien, 7b de Pierrot Beach à quelques images de rêves aux Vouillants. En guise de blonde à l’assurage, j’avais pourtant proposé un Sylvain frigorifié et pour faire le bellâtre musculeux, j’avais opté pour Bruno dans une démonstration de style et de puissance dans le surmajeur 7b de Dévers Tue. Mais tant pis, on se consolera en constatant que l’esprit reste, en comprenant que le grimpeur fait corps avec le rocher, qu’il est propre sur lui, rasé, peigné, paré de matériel toujours neuf et vêtu comme de vraie gravure de mode. On reteindra aussi qu’il aime la nature et l’environnement, allant jusqu’à recycler sa vieille brosse à dent…
Avec un peu plus sérieux, LaCuvette fit encore récemment la une, mais cette fois du dernier opus papier de JM. Alors que je m'étais enfermé à double tour pour profiter du calme de mes toilettes et dévorer d’une traite mon magazine préféré, je constatais avec malice que LaCuvette avait eu l’exclusivité de la photo et des confessions de Charlie, après sa brillante réussite de Mange de ta soupe, le premier 8c de Têtard Park.
Caprice de stars ce samedi matin : pour pouvoir contempler le lever de soleil depuis la vire, mais aussi pour avoir le privilège de pouvoir dire qu’on s’était levé encore plus tôt qu’Yves. Il était donc à peine 8h, et nous étions là haut, loin de la foule s’agglutinant sur la rocade, perchés sur une de ces quelques marches sacrées qui conduisent au paradis. Sylvain et Bruno savouraient ces instants précieux, à la faveur de l’astre diurne qui commençait à offrir son spectacle, léchant de ses premières lueurs les rebords scintillants des cimes enneigés. Ces premiers rayons, rien que pour nous, nous baignèrent peu à peu dans une douce chaleur. La lumière matinale, si pure, illuminait chacun des recoins de la falaise, révélant les couleurs féériques du cailloux. De fines stalactites de givre tombaient des zones déversantes, elles ajoutaient une touche de magie glacée à l’ambiance du moment. Le bonheur est sur la vire…. assurément….et 7b accessoirement, court mais aux nombreuses relances et déplacements de pied. Le bonheur se lisait sur le visage de Sylvain, après son grognement de bête pour aller se vautrer sur le relais. Puis vint le tour de Bruno, pourtant indécrottable adepte de longues envolées de conti, qui finit par succomber à ce plaisir rare, un de ceux que seule Lacuvette peut secrètement nous offrir, à force d’acharnement, de persévérance, de motivation ...et dire qu’Yves et Oliv ont encore fait la fine bouche…
Dernier caprice à deux pour Iaki et François, ces deux grimpeurs Marivalois, décidés à quitter leur falaise d’Autoire, transformée en cascade de glace, pour aller chercher la chaleur du soleil de l’extrême sud-est. Ma force de persuasion et mes arguments imparables n’ont pas réussit à les faire dévier de la route pour venir gouter aux charmes inégalables d’un Espace Comboire en plein hiver. En espérant que vous ne vous en mordrez pas les doigts…

samedi 7 février 2009

Seul

"Je ne me souviens plus de rien. Je ne peux pas dire si c'est la réalité ou bien un rêve. Au plus profond de moi je ressens le besoin de crier"…et encore un stickers à celui qui découvrira d'où vient cette complainte. Me voilà seul, elle est partie…jamais je ne pourrai l’oublié, simplement parce qu’elle fut la première. Avec elle j’ai découvert des sensations inconnues, j’ai exploré de nouveaux mondes, j’ai trouvé des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas. A tout jamais je me souviendrai de notre première rencontre, de la douceur de son étreinte, de sa peau soyeuse, lorsque toute sa chaleur m’envahissait. Je n’étais plus le même, transformé, emporté dans une explosion de sens…C’était il y a deux ans, un froid matin d’hiver, sans un mot, pour la première fois je l’enfilais...ma première paire de eb !! des Wolverine…J’avais craqué pour le moelleux de sa languette. Par notre baptême, je n’avais rien choisi de mieux que les 40 interminables mètres du Pont de Londres, dalle grise et sculptée de la DJ, surement l’un des plus beaux 7b+ de Lacuvette. La douleur ressentie et cette sensation de chausser des sabots avaient failli avoir raison de notre rencontre…et puis, avec l’excitation de la croix, j’ai finalement persévéré, jusqu’à en découvrir la face cachée, celle là même qui m’a irrésistiblement attiré, me fidélisant définitivement….
Et puis le temps a passé, les ressemelages se sont succédés, les rafistolages ont fait leur apparition. Elle a fini ses jours bien au chaud dans l’antre résineux de Lacuvette qu’est Planète Bloc. Jusqu’à ce mardi dernier où elle rendit l’âme, se déchirant sur toute sa longueur et se perçant à plusieurs endroits, sous la semelle. Elle s’est éteinte contre moi, lors d’un chargeage de talon, ce mouvement qu’elle affectionnait par-dessus tout. Une belle fin somme toute. Elle ne trônera plus à sa place au fond du garage, sur l’étagère sacrée de mes armes ultimes.
D’ailleurs, qui aura l’œil assez averti pour trouver les quelques intrus glissés dans cette belle photo de famile…?
Comme elle le souhaitait, au printemps, je lui creuserai une tombe au pied de Sidi’h’bibi, sur cette vire qui l’a toujours fait vibrer. Ainsi, chacun des cuvettards pourra se recueillir devant sa stèle, en pensant à elle et à tout ce qu’elle nous a apporté.
2 ans finalement, c’est plutôt court, surtout quand j’ai vu Xav se pointer à Planète Bloc avec sa paire collector de Super Maestria eb, âgée de …plus de 30 ans !! Ca me rappelle cette ritournelle, signe de mon addiction précoce à une certaine pate à tartiner, "35 années d’expérience feront toujours la différence". Comme quoi, il y a bien de période ou se concentrent les talents...pas vrai JM ? Pas une égratignure, aucune tâche et toujours la semelle d’origine, indestructible…juste une odeur un peu forte permettant d’attester de leur utilisation fréquente.
A les comparer, rien ne semble les différencier : même couleur, même design, même griffe, même talon. Par effet de mode, le scratch a remplacé les lacets, mais le rouge est resté. Les œillets d’origine sont toujours intacts alors que le passant de la sangle a cédé sous mon coup de pied légèrement hors norme. La semelle initiale semble inusable, alors que les actuelles ne durent que 6 mois, peut-être victime de mes dérapages légendaires.
J’ai perdu une partie de ma raison d’être, je n’ai plus la force de relever la tête, comme ces deux illuminés qui le chantent à qui veut l'entendre, je suis seul dans mon coin…seul Mr eb pourrait combler ma peine…
Seuls, c’est aussi la sensation que nous avons éprouvée, à 3 ce samedi neigeux, à l’heure où la nuit tardait à laisser place aux premières lueurs du jour. Blottis les uns contre les autres au pied du mur de l’angoisse, aux Vouillants, ni le froid, ni la nuit, ni la neige n'allaient pouvoir avoir raison de nous. Bruno, en homme du nord habitué des terres australes, s’est laissé tenté par les quelques mouvements bien retords du vieux et désuets Dévers Tue, 7b d’un autre temps. Tout comme Sylvain et son bonnet en véritable poils de yack, arme absolue contre toute sensation de froid. Pour ne pas faire pâle figure, je me mis aussi à la tâche, jetant mon dévolu sur une vieille connaissance, un de ces innombrables éternels projets, à qui je rends régulièrement visite, la contrition humaine, 8a…mais sans elle, sans ma vielle paire, le cœur n’y était plus, soudainement, j’eus froid, peur, j'avais cette boule dans le ventre et les sanglots à fler de peau...je n’avais plus envie…
Elle n'était plus là...

dimanche 1 février 2009

Pipot-lisation

On aurait du s’en douter, j’allais finir par prendre la grosse tête. Il y eut d’abord un rédac chef d’un magazine de classe mondial qui me supplia de lui accorder un peu de place sur lacuvette. Ensuite ce fut la reconnaissance internationale d’un portail grimpe qui me harcela pour publier un post à propos de lacuvette. Et puis ce fut la déferlante de commentaire de fans toujours de plus en plus nombreux jusqu’aux worldwide record de 45 avec 300 visiteurs, rien que pendant la seule journée de Mercredi. Depuis, je croule sous les sollicitations, à commencer par Planète Bloc qui offrit 10 pass VIP à Lacuvette pour son contest de Février, avec comme seule consigne d’assurer le show, mais sans truster les places du podium. Tandis que je serrais des paluches et signais des dédicaces, je dus refréner la fougue de mes poulains les plus vigoureux, notamment Schnappi, Ludo, Martin. A contre cœur, ils se plièrent aux consignes, faisant exprès de rater quelques uns des blocs soit disant durs de Nico. Comme convenu, ils finirent seulement 4, 6 et 7eme. Pour rester incognito, je dus aussi prévoir un second tir groupé avec Sylvain, Oliv et Bruno, les obligeant à jouer les illettrés, incapables de renseigner leur feuille de croix, dépassés par les évènements et perdus parmi la foule. Ils jouèrent parfaitement le jeu, et se voyaient reléguer en bonne et dernière 74eme position, tous ex-æquo. S’en suivi, le carré VIP, avec la meilleure table qui nous fut attribuée et les succulents mais peu copieux tacos, servis avec dévotion, par Nico et Luca, les 2 pb masters aux petits soins pour leurs hôtes de marques. Pour rester discret, je leur demandais de truquer les tirages au sort des lots : aucun des cuvettards ne devait être récompensé….et ce fut le cas, pour la 4eme fois.
Même le grand Foué se sentit obligé de venir nous saluer. Il préféra couper court aux sempiternelles discussions de la commission équipement du CD38 pour s’inviter à notre table. Il nous rassura sur le sort de son fessier durement mal mené par la méthode du sumo dans Sale lierre dur, le 8a des Saillants.
Je n’ai malheureusement pas pu répondre à l’ensemble des sollicitations, je m’en excuse, notamment auprès des grimpeurs marivalois qui avaient organisé une soirée spéciale Lacuvette tribute, avec test de chausson de cuvettards eb et démo de grimpe de notre style inimitable. Heureusement, François sut me remplacer au pied levé, laissant un public un peu sur sa faim, admirant une grande asperge élancé et grisonnante plutôt que l’annoncé sumo jovial aux doigts de pieds boudinés …
De son coté, Phildar le bien nommé, profite de sa popularité, se faisant passer pour le mannequin attitré des fils à tricoter éponymes, arborant son fameux bonnet rouge tricoté main. Star d’un 3eme âge addicts aux aiguilles à tricoter, il incarne pour le bonnet ce que Julien Lepers incarne pour la cravate : style raffiné et élégance, comme se plait à me le rappeler ma grand-mère quand je passe lui rendre visite le week-end sans m’être changer de ma séance de grimpe…
Pour que tout ce petit monde garde la tête froide, rien de tel qu’un bon vieux Espace Comboire. Pour enfoncer le clou, je ressortis un de ces vieux magazines stockés dans mes toilettes, pour mes longues heures de méditation quotidienne : l’indispensable deuxième numéro du Roc Info, merveille littéraire de l’académie Française de l’escalade qu’est l’ECI. 1990, à l’heure où je devais ricaner bêtement avec une voix en train de muer, 2 jeunes mutants locaux équipaient le secteur d’Espace qui allait marquer l’histoire, THE secteur de la vire. Le baiser bleu n’était que 7c, engagé parait-il…et aujourd’hui, sans rien faire, 8a. Une bonne claque pour Schnappi qui s’est acharné sur le crux du haut, jetant finalement l’éponge pour envisager une variante rejoignant la fin de nulle par ailleurs, le 7c voisin. Que dire de Viva Zappata ou de Sidi H’ Bibi, alors seulement 7c+, la dernière dont le crux laisse encore dubitatif…si ce n’est qu’on n’est pas encore prêt de faire du 8a !!! Selon les écrits de l’époque, Mezza Vocce serait la plus belle, Interdit aux chiens et Tulipe farcie celles comportant les mouvements les plus durs de la falaise….humblement, Ludo confirme pour les clébards, le 2 pas de blocs réclamant des trésors de sensations et d’ingéniosité encore cachés et Schnappi pour la Tulipe, puisque ces blocages légendaires ne suffisent toujours pas dans la section du haut. On sourira alors en lisant que ces ouvreurs d’un autre monde, se gaussent de certaines cotations ubuesques d’aujourd’hui…et pas très loin de chez nous…
Changement d’époque pour Sylvain Jean-Yves, Bruno et Ludo qui s’essayèrent aux dernières voies du lieu, un florilège de choix qui permet de prolonger les plaisirs : le bonheur est sur la vire 7b court et teigneux, la variante du Chakra des araignées fanatiques, un 7a+ tout en douceur, et en Attendant Ludo, un joli 7c à sensation.
Même les grands philosophes contemporains s’inspirent de nos pensées. Et c’est ce vieil Edgard qui sut retranscrire précisément celle de ce jour ''la vraie nouveauté naît toujours dans le retour aux sources''